Blottie entre les villes de Saint-Pierre et de Saint-Joseph respectivement à l’ouest et à l’est, Petite-Île borde l’océan Indien au sud. Elle doit son nom à l’îlot de Petite île. En plus de posséder une économie assise sur l’agriculture, cette localité urbaine présente également de nombreux attraits touristiques, dont le site de la Grande Anse et le Palm hôtel. Cette cité résidentielle et multipolarisée abrite le collège Joseph-Suacot et le musée Varlop-Galèr.
La règlementation qui encadre la gestion de l’amiante sur un chantier est très claire et surtout assez stricte. Les opérateurs de BTP, en l’occurrence les agents de terrain, sont les plus exposés, d’où la nécessité pour eux de suivre une formation à la SS4 selon leur fonction avant d’opérer. Dans tous les cas, si le diagnostic amiante avant travaux/démolition à Petite-Île s’avère positif, l’employeur doit fournir à ses salariés les équipements de protection individuelle (EPI) et appareils de protection respiratoires agréés dans le cadre de leur intervention. Il doit veiller à appliquer les mesures mentionnées dans le bilan afin que ses employés et collaborateurs soient le moins exposés à l’amiante chantier.
Commencer les travaux sans tenir compte du rapport du repérage amiante est préjudiciable pour le maître d’ouvrage. Loin d’être une simple négligence, cela est considéré comme une infraction aux règles d’hygiène et de sécurité. L’arrêt des travaux et le paiement d’amendes peuvent en résulter. Qui plus est, lorsqu’il ne se base pas sur le diagnostic amiante avant travaux/démolition à Petite-Île, le chef d’entreprise peut se voir condamné pour mise en danger de la vie d’autrui et cela peut lui valoir une peine d’emprisonnement.